« Je veux travailler dans le respect des saisons et de manière locale, explique-t-elle. Quand je suis rentrée, je me suis dit que je vais changer mes pratiques, d’abord pas de boutique mais un atelier et ensuite que de la fleur française surtout en hiver et local pour les autres saisons. »
Collectif de la fleur française
Claire fait partie d’une mouvance de jeunes femmes entrepreneuses avec laquelle elle a l’habitude de faire des concours et des propositions : Laurine du collectif de la fleur française, l’atelier de Taly pour mettre des fleurs déchées sur des bijoux ou le Clos Délice pour des événements comme la Saint-Valentin. « Laurine fait partie du collectif de la fleur française, comme moi, et en vend le mercredi matin au marché d’Arras, elle cultive ses fleurs à Hénin-sur-Cojeul, on ne peut pas plus local ! »